Tu es beau petit Pierre du haut de tes dix ans,
Quel plaisir de te voir poursuivre ton ballon blanc.
Mais trois jours sont passés, tu es toujours absent
Dans le square du village tu jouais bien gentiment,
Soudain, une voiture démarra brutalement…
Tes amis te recherchent soutenant tes parents,
Des cris ! On t’a trouvé couché près de l’étang,
Ange déshabillé auprès d’un ballon blanc !
Commentaires de l’ancien blog
très émouvant ce poème! j’espère que ce n’est pas du vécu! tu nous surprends dans le deuxième moitié qui « fait froid dans le dos »!