Toutes les années se suivent inexorablement,
La peau plisse et se creuse de ceux qui furent enfants.
Dans cent ans, deux cents ans, ou même bien avant,
Quand j’aurai disparu de la mémoire des gens.
Ne restera de moi qu’une pierre me couvrant,
Usée et délavée par les assauts du temps.
Ainsi qu’un vase cassé, déjà depuis longtemps,
Seul témoin survivant des jolies fleurs d’antan.
Commentaires de l’ancien blog
— Les padénes 05/08/2015 16:46
Bravos et Que »le temps passe »’ vite !!!! 🙂
— Andrée 24/08/2010 17:18
mélancolie du temps qui passe si vite, trop vite
— Lucie 22/08/2010 04:46
Je suis souvent venue te lire, maintenant, j’ose te dire, t’écrire, te crier, que j’aime ce que je lis. Voilà, je laisse ma trace.
— Chêne vert /08/2010 20:30
surperbes tes poèmes et tes histoires !! un très bon moment de lecture !!! a plus gino et bon sejour sur la cote d azur
— MissJulie 30/07/2010 21:00
toujours aussi magnifiques tes poèmes.
tu es je pense une des rares personnes que j’ai pu rencontrer sur
le net qui mérite d’être connu en irl.
Gros bisous Marc
Julie
— Belya 30/07/2010 19:09
C’est un bien bel écrit pour un sens bien triste.
— disc88 30/07/2010 18:53
J’ai l’honneur d’ouvrir le bal des commentaires sur ce poème …
Que dire, simplement sublime !!!
P.S j’aime te lire ou te relire et à chaque fois je suis touchée par tes écrits.
Bisous, grand écrivain.